Depuis un certain temps, le phénomène de vandalisme dans nos différents établissements scolaires est d’actualité. Après les cas enregistrés dans le lycée bilingue d’etoug -ebe à Yaoundé, le lycée bilingue de deido à douala voici l’entrée en scène du lycée bilingue de mvomeka’a.
Entre drogues, consommation de stupéfient, vandalisme de toit genre, bavardage dans les salles de classe, l’organisation des charters par les élèves s’accentue où rapports sexuels et viol sont maître. Les bureaux administratifs dans ces établissements se transforment en salles d’audiences souvent sous le regard indifférents des parents. le quotidien scolaire expose à d’innombrables écarts de conduite.
Eyenga Jérémie, enseignant de Science de la vie et de la terre en service au lycée bilingue de mvomeka’a région du sud est molesté par un groupe d’élèves. L’histoire remonte en mis mars 2019. Ces élèves lui reproche d’entretenir une relation amoureuse avec l’une de leurs camarades ce qui n’a pas été de leurs avis dès lors, ils ont décidé de faire passer un sal fin de trimestre à l’enseignant. Des coups et des sévices corporels grave à l’endroit du professeur de SVT sont enregistrés selon les déclarations faites par le Dr de l’hôpital de district de mvomoka’a.
Ces égards de comportement n’ayant pas laissé indifférent le proviseur du lycée monsieur Jacques Mintya a promptement convoqué un conseil de discipline et lesdits élèves démasqués ils ont été reconnu coupables. Selon certaines informations, ce verdict vaudrait des menaces de mort au proviseur.
Il règne désormais un climat de peur dans ce village où des parents restent muets dans des situations d’une telle envergure car parfois mécontents du renvoie d’un élève au sein de l’établissement et qui de même participent au trafic d’influence afin que ces mêmes élèves dans leurs rangs d’exclus retrouvent place dans les établissements.
L’on se demande en effet ce que deviennent nos établissements scolaires.
Marceline Kabena