L’imam central de Nkongsamba dans le département du Moungo, région du Littoral, s’exprimait ainsi dans son sermon dense de la Fête de la Tabaski, où le concept de « Spiritualité citoyenne » a été lancé, alors que le Président national du Ya-Kamata El Hadj OUMAROU appelle à prier avec ardeur pour le Président Paul BIYA.
C’est une déclaration forte, qui montre que le Président Paul BIYA quadrille son territoire, son terroir, son terreau, pour essaimer la paix, le progrès et le vivre-ensemble.
Le dimanche 16 juin, jour de Fête du mouton, selon l’appellation populaire de la Fête du sacrifice, deux appels : l’Imam de Nkongsamba et le Président du Ya-Kamata El Hadj Oumarou.
L’imam, dans son très riche sermon dira que, « Qui ne remercie pas les hommes, ne saurait remercier Dieu ». Dieu ayant créé l’homme pour être au service des hommes, l’Imam central de Nkongsamba trouvera que, si l’on en juge toutes les attentions du Chef de l’État à la Communauté musulmane, Paul BIYA est le prototype de ce qu’il appelle « la Spiritualité citoyenne ».
Parce que nous sommes dans le Moungo où Paul BIYA se reconnaît et est reconnaissable par son représentant personnel permanent en la personne du Préfet Yves Bertrand Noël NDJANA, l’Imam central va prononcer ces mots qui ont toute leur valeur : « Nous remercions le Préfet du Moungo, pur fruit de l’école de la paix, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble incarnés et si chers au Président Paul BIYA ».
À travers le nom Yves Bertrand Noël NDJANA, il faut lire Paul BIYA.
Satisfaction totale donc de la Communauté musulmane du Moungo, bénéficiaire de la très haute considération du Président Paul BIYA pour le pèlerinage à la Mecque, et, les autres activités spirituelles.
El Hadj OUMAROU, le Président National du Ya-Kamata ne trouvera pas d’autres mots plus expressifs: « Je demande à la Communauté musulmane du Cameroun de prier intensément pour la paix et l’homme de la paix, du progrès, de la stabilité, et de l’émergence, notre Chef de l’État Son Excellence Paul BIYA ».
C’est la voix la plus autorisée des dignitaires musulmans qui parle ainsi. Et, sa parole vaut sourate du Coran.
S. A. (Correspondance particulière)