Les tweets du président Paul Biya se multiplie de jour en jour sur les réseaux sociaux. L’on dirait même qu’il a pris cette habitude de parler et de se faire entendre par ses compatriotes par voie virale peut être à entendre ses tweets devenus répétitifs le premier patriote s’adresse à son peuple.
L’usage et l’utilité des nouvelles technologies étant au grand rendez- vous.
Ce matin encore l’actualité bas de l’aile le candidat du RDPC nouvellement réélu à la tête du Cameroun serait touché par les phénomènes de vandalisme, de kidnapping, de tribalisme, de népotisme de Boko Haram au Nord du pays jusqu’aux crises dites anglophones ; des exactions perpétrées de tout ordre, au plus des cris des victimes et des camerounais, à la mal gérance des biens publics, à la surfacturation de tout gendre, à la hausse des prix de première nécessité ne pouvant permettre à un camerounais moyen ou dont le salaire est fixé à 36.000FCFA de s’épanouir… Il appelle au pardon « l’important aujourd’hui, est de pardonner et d’oublier de tendre ensemble vers un but commun. Nous ne pouvons, à la fois, regarder l’avenir et vivre au passé. Le pardon mutuel est le chemin qui conduit vers la paix durable. »
Le pardon dit-il est le chemin qui conduit vers la paix durable. De quel pardon s’agirait-il ou alors à qui pardonner en tout cas au lieu de ressasser le passé, regardons plutôt vers l’avenir.