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Iai cameroun -Mijef 2035 : 200 apprenants reçoivent leurs attestations de fin de formation

La cérémonie marquant cette fin de formation a eu lieu le 10 mai 2022 en présence du Représentant résidant de l’Institut Africain d’Informatique au Cameroun, Armand Claude Abanda et d’autres membres du gouvernement à Garoua Boulaï dans la région de l’Est Cameroun.

Trois mois aurons suffis pour mettre à niveau 200 apprenants Camerounais et Centrafricains. Ils ont reçu leurs attestations de fin de formation à l’utilisation de l’outil informatique, le 10 mai 2022 à Garoua Boulaï dans la région de l’Est. Cette cérémonie s’est déroulée en présence du sous-préfet de la région, du maire, du parrain de la promotion, Joseph Yerima, de nombreuses personnalités politiques, administratives traditionnelles, ainsi que du Représentant résidant de l’Iai Cameroun, Armand Claude Abanda.

Dans son propos de circonstance, Abdou Abdon, maire de Garoua Boulaï, a exhorté les récipiendaires de faire un bon usage des connaissances reçues et de mettre en application tous les acquis. Pour sa part, le Représentant résidant de l’Institut Africain d’Informatique au Cameroun, Armand Claude Abanda s’est fortement réjouis de la présence des ressortissants Centrafricains dans cette cuvée. Ce qui témoigne de la parfaite coopération académique qui existe entre le Cameroun et la République Centrafricaine. Il faut dire que dans le cadre de ce projet Mijef 2035, l’Iai Cameroun a déjà formé plus de 402.000 personnes aux Technologie de l’Information et de la Communication.

A titre de rappel, cette opération est placée sous le Très Haut Patronage de Madame Chantal BIYA, Première Dame du Cameroun. L’objectif général du projet est de former sur une période de 20 ans, un million de femmes, de jeunes et d’enfants, à raison de 50 000 personnes par an. D’après son auteur, Armand Claude Abanda, Représentant résident de l’IAI-Cameroun, «ce programme vise également à renforcer les compétences des jeunes, des enfants et des femmes dans le domaine de l’informatique, afin qu’ils soient plus performants dans leurs secteurs d’activités respectifs».

Ernesthine BIKOLA

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