Ouverte ce jeudi 12 novembre, beaucoup de sujets ont été développés.
Le cri de détresse du président de l’assemblée nationale au perchoir de hémicycle du palais de congrès de Yaoundé ce 12 novembre 2020 à l’ouverture de la session de novembre . Le discours qui a débuté par une minute de silence à la mémoire des disparus a été donnée par les atrocités en zone anglophone.
pour la résolution de cette crise les députés ont des approches différentes sur la méthode.
» C’est nécessaire de venir s’asseoir et parler il faut qu’on résout nos problèmes »
Nous pensons que cette solution qui a été implémentée au sortir du grand dialogue est discutée profondément au sein de la nation que l’assemblée prennent position pour soutenir cela, nous sommes contre, on se serait attendu que le président de l’assemblée lance un appel a l’endroit des différents acteurs et des élites pour qu’on refasse le dialogue »
Au front, l’armée fidèle aux institutions de la république paye souvent le prix du sacrifice et parfois et font l’objet des accusations. le Sdf veut pousser la réflexion un peu plus loin.
« Ces forces de défenses et de sécurité qui coûtent au moins 30% du budget de l’état sont incapables de ramener la sécurité pendant 04 ans, nous devons déjà nous pencher sur cela mais cela devra se faire dans un cadre légale des discussions budgétaire moi je ne vois pas pourquoi on continue à augmenter le budget si nous n’arrivons pas à ramener la paix dans cette région , je ne vois pas pourquoi nous ne devons pas parler çà clairement «
Autre sujet abordé par le président de la chambre basse du parlement, la montée du tribalisme, les inondations au littoral et à l’extrême nord mais aussi la marche pacifique du mrc.
Le budget qui sera adopté pendant cette session devra s’adapter au contexte socio-politique sécuritaire et sanitaire que traverse le pays. Au sujet du covid 19, le parlement demande aux populations de continuer à respecter les mesures barrières car le virus circule toujours et au gouvernement de penser à la relance éco-post-covid, surtout dans les secteurs les plus affectés comme le tourisme.
Olivier DONGMO