Les travaux d’entretien lourd du premier lot de la section Ngaoundéré-Garoua, zone Aéroport-Université de Ngaoundere, d’un linéaire de 6 km, sont réalisés à 73, 56%. Du fait des dégradations précoces constatées sur la chaussée, les travaux sont en arrêt, en attendant les résultats des prélèvements effectués par le Labogenie.
Réalisés par l’entreprise Bernis S.a pour un montant toutes taxes comprises de 2 646 897 686 Fcfa sur financement du budget ministère des Travaux publics-Lignes Fonds routier, l’avancement global des travaux de réhabilitation du lot 1 de la section Ngaoundéré-Garoua débutés le 06 avril 2020, pour une fin des délais contractuels arrêtée au 06 décembre 2022, est estimé à 73, 56 % contre une consommation de délai de 114%. A date, la consistance des travaux déjà exécutée sur le terrain concernent les prestations suivantes : la définition des quantités ; le montage du projet d’exécution ; les déblai ordinaires mis en dépôt ; les remblais en graveleux latéritique provenant d’emprunt ; le deflachage ; la mise en œuvre de la couche de base en 0/31.5 ; l’imprégnation au sablage ; l’exécution de la couche d’accrochage ; le revêtement en enduit superficiel bicouche ; le revêtement en bitume bitumineux, la réalisation des fossés bétonnés et dalette en béton armé.
Face aux diverses difficultés rencontrés dans l’exécution des travaux par l’entreprise, le maître d’ouvrage a toujours adopté des solutions appropriées. Entre autres solutions adoptées, on note : la validation conjointe par la Direction de l’Entretien et de la Protection du Patrimoine Routiers, la Division de la Planification, de la Programmation et des Normes et l’entreprise, des nouveaux prix proposés par cette dernière ; le recadrage du contrat de l’entreprise en deux phase étalées sur deux ans avec pour objectif de traiter complètement les zones critiques dès la première phase des travaux. A cet effet, l’ordre de service portant modification de certaines dispositions du marché de base, a été signé, le 04 août 2020 et notifié à l’entreprise le 20 août 2020.
Concernant le paiement de la troisième phase des travaux, programmée en 2022, ce recadrage a permis par souci de cohérence, de ramener l’exécution sur deux ans alors que le financement est étalé sur trois ans. Ce qui a amené l’entreprise à accepter d’être payée l’année prochaine. Cependant, l’exécution des travaux a été suspendue depuis le mois d’octobre 2021, pour cause de dégradations précoces constatées sur la couche de roulement nouvellement faite. De ce fait, des réunions d’analyse du rapport du Labogenie relatif aux causes et solutions de ces dégradations précoces sur le revêtement en béton bitumineux réalisé par l’entreprise Bernis S.a en cours, sont attendues. Le Ministre des Travaux publics, Emmanuel Nganou Djoumessi, en visite de travail dans la région de l’Adamaoua, a récemment donné des instructions pour la mise à disposition des résultats de ces analyses qui vont permettre d’identifier la cause des dégradations observées et de trouver une solution palliative, afin d’achever les travaux.
Source : Celcom MINTP
Travaux de chaussée sur la section Ngaoundéré-Garoua : taux de réalisation de 73,56% sur le lot zone Aéroport-Dang
Les travaux d’entretien lourd du premier lot de la section Ngaoundéré-Garoua, zone Aéroport-Université de Ngaoundere, d’un linéaire de 6 km, sont réalisés à 73, 56%. Du fait des dégradations précoces constatées sur la chaussée, les travaux sont en arrêt, en attendant les résultats des prélèvements effectués par le Labogenie.
Réalisés par l’entreprise Bernis S.a pour un montant toutes taxes comprises de 2 646 897 686 Fcfa sur financement du budget ministère des Travaux publics-Lignes Fonds routier, l’avancement global des travaux de réhabilitation du lot 1 de la section Ngaoundéré-Garoua débutés le 06 avril 2020, pour une fin des délais contractuels arrêtée au 06 décembre 2022, est estimé à 73, 56 % contre une consommation de délai de 114%. A date, la consistance des travaux déjà exécutée sur le terrain concernent les prestations suivantes : la définition des quantités ; le montage du projet d’exécution ; les déblai ordinaires mis en dépôt ; les remblais en graveleux latéritique provenant d’emprunt ; le deflachage ; la mise en œuvre de la couche de base en 0/31.5 ; l’imprégnation au sablage ; l’exécution de la couche d’accrochage ; le revêtement en enduit superficiel bicouche ; le revêtement en bitume bitumineux, la réalisation des fossés bétonnés et dalette en béton armé.
Face aux diverses difficultés rencontrés dans l’exécution des travaux par l’entreprise, le maître d’ouvrage a toujours adopté des solutions appropriées. Entre autres solutions adoptées, on note : la validation conjointe par la Direction de l’Entretien et de la Protection du Patrimoine Routiers, la Division de la Planification, de la Programmation et des Normes et l’entreprise, des nouveaux prix proposés par cette dernière ; le recadrage du contrat de l’entreprise en deux phase étalées sur deux ans avec pour objectif de traiter complètement les zones critiques dès la première phase des travaux. A cet effet, l’ordre de service portant modification de certaines dispositions du marché de base, a été signé, le 04 août 2020 et notifié à l’entreprise le 20 août 2020.
Concernant le paiement de la troisième phase des travaux, programmée en 2022, ce recadrage a permis par souci de cohérence, de ramener l’exécution sur deux ans alors que le financement est étalé sur trois ans. Ce qui a amené l’entreprise à accepter d’être payée l’année prochaine. Cependant, l’exécution des travaux a été suspendue depuis le mois d’octobre 2021, pour cause de dégradations précoces constatées sur la couche de roulement nouvellement faite. De ce fait, des réunions d’analyse du rapport du Labogenie relatif aux causes et solutions de ces dégradations précoces sur le revêtement en béton bitumineux réalisé par l’entreprise Bernis S.a en cours, sont attendues. Le Ministre des Travaux publics, Emmanuel Nganou Djoumessi, en visite de travail dans la région de l’Adamaoua, a récemment donné des instructions pour la mise à disposition des résultats de ces analyses qui vont permettre d’identifier la cause des dégradations observées et de trouver une solution palliative, afin d’achever les travaux.
Source : Celcom MINTP