L’ association – Ong de promotion des droits de la femme et de la jeune fille, créée par la journaliste Melvice Dione, repense et re-panse l’avenir de la jeune fille de la cité balnéaire, ce vendredi, en pariant sur l’éducation. MelDream attire ainsi les regards sur le 11 octobre, Journée Internationale de la fille, qui ne connait pas le même tintamarre que le 08 mars et le 15 octobre.
On appelle cela, se dévouer entièrement pour une cause. Sortir de l’anonymat événementiel cette Journée mondiale de la fille, et mener une action ciblée, pour forger un avenir plus reluisant et chatoyant de la jeune fille, dans une cité balnéaire objet de mille et une convoitises. Il faut avoir le rêve, le « DREAM » à la puissance de Martin Luther King, pour le faire! Il faut donc et surtout s’appeller MelDream.
MelDream partage donc le grand rêve d’un avenir bien meilleur pour la jeune fille, ce vendredi à Kribi. La fondatrice de cette association d’obédience humanitaire et féministe, la journaliste de grand talent Melvice Dione, voudrait, de par la pertinence des activités menées depuis ce jeudi 10 octobre avec un décrochage radiophonique à la Radio Espoir qui bat tous les records d’audience, écrire le plus beau journal pour l’avenir de la jeune fille.
Oui! « La vision des filles pour l’avenir », c’est le thème arrêté cette année par l’Unesco. Mais, pour panser et repenser l’avenir de la jeune fille de Kribi, MelDream a camerounisé ce thème, en se concentrant à « l’éducation : un levier important pour l’autonomisation de la jeune femme ».
C’est ce thème structurant qui guide la campagne de sensibilisation et d’éducation de la jeune fille en cette journée qui lui est consacrée, ce vendredi 11 octobre.
La caravane de MelDream, soutenue par l’expertise avérée du Ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille, refait dès 13h ce vendredi, le mind-set et changer le regard de la jeune femme dans les établissements scolaires parmi les plus représentatifs de Kribi. 13h pile, MelDream est au Lycée Bilingue de Dombè. 15h30, MelDream est au Lycée de Kribi urbain à Talla. Objectif, appeler les jeunes filles à aller le plus loin possible à l’école, glaner les plus grands diplômes, et devenir des moteurs de l’Emergence. La vraie autonomisation, selon Melvice Dione, c’est d’abord l’éducation et non le rattrapage qui est la « série C », c’est-à-dire la coiffure, la couture, le commerce et le chômage comme l’a chanté Magic System.
Siméon AVA (Correspondance particulière)
