C’estce qui ressort de l’intervention du représentant résident du Hcr, Guillaume Beer, dimanche 27 juin 2021 à Yaoundé
La 21e journée internationale du Haut commissariat des réfugiés(Hcr) s’est célébrée dimanche dernier. Cette journée appelle à une prise en compte des droits, des besoins des rêves et des aspirations des réfugiés. Elle participe également à la mobilisation de la volonté politique et des ressources. Ceci afin de permettre à la survie des réfugiés, mais aussi pour leur épanouissement.
Il est important au quotidien de protéger et d’améliorer les conditions de vie des réfugiés, il n’en demeure pas moins que les journées internationales, à l’instar de la journée mondiale des réfugiés, constituent une opportunité d’attirer l’attention du monde entier sur le sort de ces personnes contraintes de fuir les conflits et la persécution dans leurs pays d’origines respectifs.
En effet, plusieurs activités organisées à cette occasion offrent des possibilités d’apporter un appui favorable aux réfugiés. Au cours de ces assises, l’hospitalité du Cameroun, en termes d’accueil et d’insertion socioprofessionnelle des réfugiés ont été présentés et salués. Environ 500.000 sont dans le territoire camerounais, ils s’intègrent, autant que faire se peut, au sein des différentes communautés qui les reçoivent.
Lesquelles leur accordent plusieurs facilités de vie. D’ailleurs, « seul 30% d’entre eux vivent dans les camps et dans les zones aménagées pour les recevoir », a relevé le secrétaire général du Minrex. A ceci, les pouvoirs publics ne sont pas en reste. Dans l’élaboration de ses plans de développement nationaux, la protection des personnes vulnérables occupe de ce fait une place choix.
Eric FOE