Le « Guide de l’Ingénieur de Suivi des contrats des Travaux Routiers» est l’instrument normatif à travers lequel le Ministre Emmanuel Nganou Djoumessi démontre que l’ingénieur de suivi est l’acteur de premier plan dans le rendu et le reporting du dispositif de suivi du projet et la cheville ouvrière dans la préparation et l’assurance-qualité des documents d’aide à la décision et d’appui à la communication sur le projet.
Sur les centaines de contrats de travaux routiers qu’administre chaque année le ministère des Travaux publics, il a été observé que les activités de cet acteur clé ne sont pas rigoureusement encadrées par un instrument normatif. Ainsi, au gré des centres d’intérêts du supérieur hiérarchique de rattachement et en fonction de l’expérience de l’intéressé, les activités de l’ingénieur de suivi varient d’un projet à un autre. Ce qui a un impact négatif dans la qualité et l’uniformité du suivi des projets.
C’est pour palier ces insuffisances qu’il a été mis en place le « Guide de l’Ingénieur de Suivi des contrats des Travaux Routiers». Ce dernier décompose un projet en plusieurs phase à savoir : la phase d’acquisition (Phase 0) ; la phase de démarrage des travaux (Phase 1) ; la phase d’exécution du projet (Phase 2) ; la phase de réception des travaux (Phase 3) ; la phase d’achèvement (Phase 4) ; la phase d’évaluation et le retour d’expérience (Phase 5).
La phase d’acquisition qui porte sur la préparation du projet (études et passation) jusqu’à la signature du contrat n’étant pas du ressort de la Direction Générale des Travaux d’Infrastructures, nous nous attarderons principalement sur les phases 1 à 5.
L’ingénieur de suivi est l’acteur de premier plan dans le rendu et le reporting du dispositif de suivi du projet. Il est la cheville ouvrière dans la préparation et l’Assurance-Qualité des documents d’aide à la décision et d’appui à la communication sur le projet.
Sur les centaines de contrats de travaux routiers qu’administre chaque année le Ministère des Travaux Publics, il a été observé que les activités de cet acteur clé ne sont pas rigoureusement encadrées par un instrument normatif. Ainsi, au gré des centres d’intérêts du supérieur hiérarchique de rattachement et en fonction de l’expérience de l’intéressé, les activités de l’ingénieur de Suivi varient d’un projet à un autre ; ce qui a un impact négatif dans la qualité et l’uniformité du suivi des projets. C’est pour palier à ces insuffisances qu’il a été mis en place le « Guide de l’Ingénieur de Suivi des contrats des Travaux Routiers ».
Ce dernier décompose un projet en plusieurs phases à savoir : la phase d’acquisition (Phase 0) ; la phase de démarrage des travaux (Phase 1) ; la phase d’exécution du projet (Phase 2) ; la phase de réception des travaux (Phase 3) ; la phase d’achèvement (Phase 4) ; la phase d’évaluation et le retour d’expérience (Phase 5).
La phase d’acquisition qui porte sur la préparation du projet (études et passation) jusqu’à la signature du contrat n’étant pas du ressort de la Direction Générale des Travaux d’Infrastructures, nous nous attarderons principalement sur les phases 1 à 5.
Bertrand TJANI