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Cameroun : un plaidoyer pour la dette 2025 en débat à Yaoundé

Une organisation d’African Forum and Network on Debt and Development, en collaboration avec son organisation partenaire, Africa Delopment Interchange Netwok et l’Association Camerounaise des Journalistes Anglophones.

«Gestion de la dette et agenda politique : garantir la redevabilité». Tel est le thème de la réunion nationale de plaidoyer pour la dette 2025 du Cameroun qu’African Forum and Network on Debt and Development, en collaboration avec son organisation partenaire, Africa Delopment Interchange Netwok (ADIN) et l’Association Camerounaise des Journalistes Anglophones (CAMASEJ), organise, ce 13 mai 2025 à Yaoundé, la cité capitale du Cameroun, une réunion nationale de plaidoyer pour la dette du Cameroun 2025 (Cameroun-RNPD).

C’est dans le cadre de leur partenariat, qui repose sur des valeurs communes de justice économique, de transparence de la dette et de responsabilité du financement mondial du développement en Afrique. Au rang des intervenants, Martin Tsounkeu, représentant ADIN ; Thephilus Yungong, AFRODAD ; Roland Kanga Ze, consultant…

En ouvrant les travaux, le Représentant du Ministre Délégué à la Présidence chargé du Contrôle Supérieur de l’Etat a souhaité que les recommandations issues de cette réunion puissent impacter les politiques publiques sur la dette.

En effet, cette rencontre qui a pu mobiliser un parterre de participants, se concentre sur le rapport de la dette avec les élections. Mieux, il est question de convenir de la meilleure façon d’influencer les politiques de gestion de la dette.

Alimenter l’agenda politique

L’objectif de cette réunion, selon les organisateurs, est de sensibiliser le public à la nécessité d’alimenter l’agenda politique avec les actions nécessaires, pour influencer positivement les politiques de la dette publique afin de garantir davantage la transparence, la responsabilité et la bonne gouvernance.

Il est également question de déclencher les réformes nécessaires de l’architecture financière mondiale régissant la dette publique ; et d’encourager la prise en compte de la mise en œuvre de solutions significatives au problème de la dette comme un enjeu politique dans un contexte électoral.

Au bout du compte, il faut faire en sorte que la gestion de la dette soit pleinement approuvée comme un enjeu important par les acteurs électoraux, dans la perspective de contribuer à faire de l’Afrique en général et du Cameroun en particulier, un acteur incontournable de la réglementation.

Bertrand TJANI

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