Dirigée des mains de maitre par le Pr. George Elambo Nkeng, l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics de Yaoundé est une institution de grande réputation, qui a su imprimer ses marques dans le domaine des travaux publics, l’architecture…
Le Directeur de l’Enstp, George Elambo Nkeng, optimiste
Etre étudiant de cette institution est un privilège, si l’on s’en tient à son rayonnement dans la sous-région, voire en Afrique, à en croire des observateurs avertis.
Créée en 1970, par décret du Président de la République, l’Ecole Nationale de Technologie (Enat) devient, en 1982, l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics et comprend une école annexe à Buea et deux centres de métiers des travaux publics (Cmtp) à Akonolinga et à Garoua.
Etablissement public de formation professionnelle technique, il est placé sous la tutelle du Ministère des Travaux Publics, chapeauté par le Ministre Emmanuel Nganou Djoumessi. Dirigé par le Pr. George Elambo Nkeng depuis 2019, l’universitaire ne ménage aucun effort, pour faire de cette école un lieu privilégié d’acquisition de connaissances théoriques et pratiques à la hauteur des enjeux de l’heure portés vers l’émergence du Cameroun à l’horizon 2035.
D’année en année, faut-il le relever, l’Enstp se forge un encrage professionnel qui ne laisse indifférent ses étudiants venant de tous bords. Un tableau somme toute reluisant à mettre à l’actif de son top management, qui ne cesse de briller par la clairvoyance.
Le Mintp satisfait des prestations de l’Enstp
Cycles de formation
Grâce à un décret présidentiel en octobre 2016, cette institution a désormais un caractère universitaire, ouvrant ainsi une nouvelle.
Car, il est doté de la personnalité juridique et de l’autonomie financière. L’Enstp forme, depuis lors, des ingénieurs de tous les niveaux, notamment dans les cycles Licence, Master et Doctorat/PhD (Lmd).
Au niveau des innovations dans la formation des jeunes, l’école offre la possibilité d’études dans les domaines de l’Architecture et l’Ingénierie environnementale. Des branches qui viennent s’ajouter à d’autres qui existaient déjà avant, à savoir : le Génie civil, le Génie rural, l’Urbanisme, la Topographie et le Cadastre.
Il faut également relever que l’école effectue des expertises, des études et apporte, le cas échéant, un appui technique aux administrations et organismes publics et parapublics ou privés qui la sollicitent. Aujourd’hui, il n’est pas prétentieux de reconnaitre que l’Enstp honore sa tutelle.
Il n’y a qu’à observer la ressource humaine de qualité supérieure que l’école met à la disposition du marché.
Au grand bonheur du Cameroun, qui ne demande qu’à se moderniser en matière de bâtiments et travaux publics.
Bertrand TJANI