Elle est devenue, depuis une certaine période, la cible des francs- tireurs de la presse, visiblement à la solde de certains cabinets noirs qui cherchent désespérément à la déstabiliser. Peine perdue, la top manager de la Scdp continue à performer contre vents et marées.
Au moment où la Société camerounaise des dépôts pétroliers (Scdp) est entrain de s’inscrire définitivement dans le giron de la performance, certains esprits retors, animés par une mauvaise foi manifeste, vouent aux gémonies le magistère de l’actuel Dg, Véronique Moampéa Mbio.
Et pour cause, elle a décidé de faire uniquement son travail et rien que son travail pour le rayonnement de son entreprise mais davantage pour le bonheur des camerounais. En effet, portée à la tête de la Scdp, à la faveur du décret du chef de l’Etat intervenu en décembre 2018, Véronique Moampéa MBio n’a pas perdu de temps. Très tôt, elle a pris le taureau par les cornes afin de relever les défis majeurs qui s’imposaient à la Scdp. Dans sa mission principale qui est celle de stocker et de sécuriser les produits pétroliers en vue de leur distribution sur l’étendue du territoire national, la Scdp sous la houlette de sa patronne, continue d’assurer. Et ce, en dépit d’un contexte mondial et national peu favorables. Alors qu’elle avait fait à peine un an à la tête de la Scdp, qu’une bonne partie de la société nationale de raffinage (Sonara) avait volé en flammes. Il fallait mettre des stratégies possibles pour assurer la disponibilité des produits pétroliers au Cameroun, la Scdp a joué un rôle de premier plan sur ce chantier.
Même au plus fort de la crise russo-ukrainienne, la Scdp a toujours permis la disponibilité des produits pétroliers au Cameroun. Résultat d’une gestion maitrisée d’une structure souveraine qui joue un rôle essentiel dans l’économie du Cameroun. La gestion de la Scdp, sur la période 2018 à 2022, a permis le déploiement d’un programme ambitieux d’investissement de 33 milliards de FCFA qui a eu pour effet induit, la revue à la hausse de la capacité de stockage et de sécurité des dépôts. Dans la foulée, un bac de 10 000 m3 de gasoil avait été construit au dépôt de Nsam, il augmentait la capacité de stockage du gasoil de 33,99% passant de 29470 à 39470 m3. La transformation d’un bac d’une capacité de 2900 m3 de pétrole en jet A1 pour augmenter la capacité de stockage ; l’installation d’un quatrième cigare d’une capacité de stockage en Gpl au dépôt de Maroua de 105 à 140 Tm ; la soudure d’une sphère 1000 Mt dans le site de Bonassama, dont les travaux sont suffisamment avancés avec pour ambition, l’augmentation du stockage du gaz qui va passer de 2500 Tm à 3500 Tm ; entre autres actions réalisées et d’autres en cours.
Néanmoins, une certaine presse semble fermer les yeux sur ce management qui mérite bien des égards, au regard de sa flamboyance. N’ayant visiblement rien a reproché sur la gestion de l’actuel directeur général de la Sdcp, certains journaux en mal d’inspiration inventent des scandales qui mettent en cause la dynamique patronne de la Sdcp. Pour donner du crédit à cette machination par voie de presse, les auteurs de cette cabale ne manquent pas d’imagination. Si pour certains titres, Véronique Moampéa Mbio aurait des prétentions d’acquérir un véhicule de 119 millions 250 000 FCFA, d’autres titres ubuesques lui prêtent l’intention de vouloir remplacer Adolphe Moudiki, actuel dg de la Société nationale des hydrocarbures (Snh), d’autres titres cocasses croient révéler le rôle trouble de la Scdp dans la disponibilité des produits pétroliers dans l’ensemble du territoire. Selon toute vraisemblance, cette campagne de dénigrement du directeur général de la Scdp serait partie d’une publication, du tristement célèbre lanceur d’alerte, Boris Berthold qui a fait du chantage et la délation son fonds de commerce.
L’essentiel de ces publications auxquelles nous avons fait référence, s’appuient sur des arguments spécieux qui ne peuvent pas résister à l’épreuve de la vérité. De l’avis des observateurs avertis, la top manager de la Scdp subie les foudres d’une certaine presse à la solde de certains cabinets obscurs qui n’ont pour seul et machiavélique dessein, jeter l’opprobre sur les dirigeants qui ont pour seule préoccupation accompagner le chef de l’Etat dans son œuvre inlassable de construction du Cameroun et d’amélioration des conditions de vie des populations.
Autant le dire, Véronique Moampéa Mbio est un manager qui fait incontestablement la fierté du Cameroun dans le registre de la bonne gestion. D’ailleurs, les résultats palpables permettent de s’en convaincre. Joseph MBA