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Route Mora-Dabanga-Kousseri : poursuite des travaux sur une section

Après la mise à disposition d’un dispositif sécuritaire et la reprise des travaux, l’entreprise s’est effectivement mobilisée sur cette section de 25 km qui relie Mora à Tchakamari et les travaux effectués affichent un niveau d’avancement de 15%, alors que le processus d’attribution des contrats de travaux de la section Tchakamari- Dabanga-Kousseri, suit son cours.

Conformément au chronogramme des travaux, l’entreprise Sotcocog s’est fortement mobilisée après la saison des pluies et effectue actuellement des travaux de chaussée et des ouvrages d’assainissement sur la section Mora-Tchakamari. S’agissant précisément des travaux de chaussée, ceux-ci concernent la mise en œuvre de la couche de fondation entamée.

L’entreprise poursuit en outre les travaux d’assainissement et la construction des ouvrages hydrauliques. Dans la perspective, elle compte améliorer son parc en engins dans les prochains jours, dans le but d’accélérer la cadence des travaux.

S’agissant de son installation, les prestations y relatives sont réalisés à 92% et les bureaux de la mission de contrôle sont opérationnels à 95%, alors que le bâtiment devant servir de laboratoire pour la Mission de contrôle est en phase de finition. Le personnel clé de l’Entreprise est mobilisée à ce jour à 95%. Tout le matériel de la MDC est actuellement mobilisé et opérationnel sur le site.

La réalisation des travaux de reconstruction de cette première section est supportée par une enveloppe de 14 620 588 274 FCFA, TTC. Dans le but de rendre la circulation aisée sur cet important axe routier en attendant l’aboutissement de la procédure de contractualisation de la section Tchakamari- Dabanga-Kousseri, le Ministre des Travaux Publics déploie régulièrement ses services compétents pour le traitement progressif des points critiques susceptibles de créer des ruptures. Malheureusement, les pluies diluviennes et l’intense trafic des poids lourds en situation d’extrême surcharge, contribuent à multiplier les zones critiques.

Source : celcom Mintp

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