La réception provisoire des travaux de l’infrastructure abritant les services de la structure a eu lieu, récemment dans cette ville, située dans la région de l’Adamaoua au Cameroun.
Le patrimoine immobilier de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (Cnps) s’enrichit avec la construction d’un nouvel édifice, pour abriter le Centre de prévoyance sociale de Banyo, dans la région de l’Adamaoua. Cette action s’inscrit dans le cadre de la réduction des dépenses de fonctionnement de l’organisme, notamment en ce qui concerne les charges locatives des structures déconcentrées. Hortense Asim Abisone, Directeur des Finances et de la Comptabilité, par ailleurs chef des projets, a effectué une descente sur le terrain, afin de procéder à la réception provisoire des travaux et y installer officiellement les services de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale.
Le bâtiment majestueusement érigé par la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale donne fière allure au quartier administratif de la ville de Banyo, du point de vue architectural et esthétique. En effet, le bâtiment plain-pied, implantée sur 1360 m², comporte 15 bureaux, 02 blocs de toilettes, 01 espace central avec salon d’attente, 01 espace bureau total, 01 salle d’archives, 01 salle de cérémonies de 300 places avec en sus 03 blocs toilette inclus, 01 cabine technique et 02 magasins. Sur le plan sécuritaire, l’édifice est doté des systèmes de vidéosurveillance équipé de 20 caméras, de sécurité incendie et de contrôle d’accès et d’anti intrusion.
Au terme de la visite de contrôle, le Chef des projets a pu constater que les travaux réalisés par l’entreprise Betterman Sarl sous le contrôle du Cabinet Ingénieurs Associés Sarl (Maîtrise d’œuvre), ont respecté les exigences techniques recommandées et ont été par conséquent acceptés par la commission de réception constituée à cet effet. Le Chef des projets a par la suite émis quelques recommandations à l’endroit du personnel : « Je vous invite à faire bon usage du patrimoine mis à votre disposition, car il participe à l’amélioration des conditions de travail et par ricochet à la qualité de service que nous devons rendre aux usagers/clients ».
Bertrand TJANI