Input your search keywords and press Enter.

Fait divers : il assassine son père et dissimule sa dépouille à Bamenda

Le corps sans vie de Roger Naoussi, 48 ans, a été retrouvé dans un ravin au quartier Blue Moon à Bamenda, région du Nord-ouest Cameroun après 02 jours de recherche.

L’assassinat aurait été commis le vendredi, 08 janvier 2021, au quartier Blue Moon à Bamenda au Cameroun. À en croire une source proche de la famille, le jeune Maxime « aurait frappé sur la nuque de celui qui lui a donné la vie, à l’aide d’un gourdin dans la soirée du 08 janvier 2021. Ensuite, il a jeté son corps dans un ravin ». Il faut dire que l’attention du voisinage avait été attirée à la suite de l’absence prolongée du magasinier à son lieu de travail samedi matin. Les voisins perplexes sont allés s’enquérir des nouvelles de Roger Naoussi auprès de son fils, en l’absence de sa mère qui avait effectué un voyage quelques jours avant. De ce dernier, ils n’obtiendront aucune information crédible. Du coup, les voisins avaient décidé d’engager une battue afin de voir clair sur cette disparition on un peu plus rocambolesque. C’est au bout de deux jours  que la découverte macabre sera faite. Le corps sans vie de Roger Naoussi, sera retrouvé dans un ravin, situé non loin des habitations. Du coup c’est l’émoi et la consternation qui s’étaient emparés du voisinage.

Ledit voisinage va se mobiliser dans le souci de saisir les forces de l’ordre qui vont effectuer une descente sur le terrain, le jeune Maxime qui vivait avec son père au moment de sa disparition sera le suspect numéro 1. Il subira l’interrogatoire des forces de maintien de l’ordre, le malheureux va passer aux aveux complets. Il sera immédiatement mis aux arrêts pour homicide. Un cousin du présumé meurtrier renseignait que : « son frère se serait engagé dans une loge sectaire et que par moment il agirait sous l’emprise des substances chimiques ». En rappel, le présumé assassin, auparavant aurait frappé sur sa maman pour une question d’argent de poche refusé. Cette femme n’avait eu alors la vie sauve, que grâce à une intervention « active » du voisinage.

Eric FOE (Stagiaire)         

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *