C’est à Yaoundé capital politique du Cameroun que la consommation des produits alimentaires par les camerounais font objet de doute.
Tout déclenche d’un vidéo amateur envoyé par un citoyen dont l’identité est préservée à la brigade nationale de répression des fraudes. Descendue sur les lieux afin de vérifier les faits, les éléments tombent sur ces produits (chocolat, huile végétale, lingette bébé dates…) qui subissent des coups de prorogation. De loin est la conception de cette idéologie dans la mesure où ces producteurs de peur de faire baisser leur bénéfice contribuent à activer la contrefaçon des produits alimentaires.
AHALA quartier de la ville de Yaoundé, un entrepôt au service de la contrefaçon, espace marchandage où les consommateurs s’alignent chaque jour pour s’acheter de quoi s’alimenter au centre de la criminalité Munies d’un dateur, les opérateurs de ce laboratoire colle sur cartons et autre matériaux des étiquettes prorogées de ces produits dont la date est à échéance . Joint au téléphone par le chef de la brigade nationale de contrôle au Ministère du Commerce, le ministre du commerce Luc Magloire MBARGA ATANGANA s’est rendu sur les lieux afin d’y voir de plus proche. Un acte criminel qui est le fait, bien qu’on soit encore dans ce qu’on pourrait appeler la présomption, mais dont les faits sont établis. Loin d’être imaginable, même pas en rêve mais pourtant vrai.