Deux régions dont l’histoire demeure triste. La petite fillette Ngasuh Sirri Noella âgé seulement de 5 ans fille de Eliezer Ngasuh, surveillant au collège d’enseignement secondaires de bangou kidnappée le lundi 20 mai au quartier Djeleng 5 du côté de Bafoussam, le a été retrouvé dans la nuit d’hier au quartier Kouogouo, violée et amputé.
Selon les témoins, qui font la description du kidnappeur un homme mince, noir, taille moyenne habillé en tissus pagne se passant pour le protocole de Monsieur le Gouverneur qui a emmené la petite aux environs de 17heures. l’inconnu connaissait bien la mère de l’enfant commerçante au Rond-point BIAO. » après s’être découvert le corps a été conduit à la morgue de l’hôpital régional de Bafoussam pour enquête.
Cette liste de crime est prolongée avec ceux du nouveau né seulement de 4 mois fusillé le 20 mai dernier à Muyuka dans la région du sud- ouest. La mère qui, ayant laissé son enfant endormi pour vaguer à ses occupations ne se réveillera point de ce long cauchemar, son bébé gisant de sang a été triplé de balle. inconsolable, elle qui a supporté pendant 9 mois et enfanté son enfant avec douleur ne va pas malheureusement voir sa progéniture grandir lance un cri d’indignation à l’égard de l !armée camerounaise d’avoir tué son nouveau né. Une célébration unitaire faciale. Oter la vie à un bébé de 4mois a-t-il demandé à naître? Ce fut le 20 mai Voilà en fait Un nourrisson condamné à la peine capitale pour une vie non encore vécue. Une liste longue. les larmes n’ayant encore atteintes leur point G qu’a nouveau les cris retentissent, une tête humaine découverte dans l’après-midi d’hier au lieu dit Mobile Nkwen dans la ville de Bamenda, les réseaux rapides l’accaparent d l’image et de l’identité de la victime fait le tour de facebook. Il s’agirait d’un enseignant dont le crime était de transmettre sa connaissance aux enfants de la dite localité où l’enseignement est voué à l’échec et interdit par cette lignée à vocation criminelle. une vidéo où la seule personne qui se voit est la présumée victime avant sa mort, l’on entend clairement une voix annoncer ce forfait.
S’adressant au « gouvernement qu’il qualifie de fictif « , il déclare : « Nous allons déposer sa tête à Nkwen. Il a tué beaucoup de nos frères [ambazoniens, ndlr]. C’est un Nordiste. » Toutefois, les habitants de la région sont plongés dans ce cauchemar sans lendemain, les populations exposées à toute sorte de vandalisme ne comprennent rien à cette manière d’agir ; des droits violés, des vies humaines arrachées le Cameroun en pleure assez de meurtres juste la paix.