Trois ans se sont déroulées depuis que cette crise dite anglophone a envahit les régions du sud et du Nord-Ouest cameroun et qui de jour en jour fait des victimes dont plus de 500.000 déplacés et prêt de 1850 mort tel que évoque par l’ONG
Human Right.
Cette tragédie ahurissante fait jaser les polémiques. L’ action gouvernementale a éradiquer ce phénomène dans ces deux régions laisse place au dialogue. C’est par une publication du 27 mai 2019 que le chef ambazonien sisiku ayuk décide de déposer les armes. Mais pour que cet acte soit possible, il fixe les conditions d’un dialogue par le gouvernement camerounais.
Depuis la prison centrale de Nkondengui le chairman dit être prêt pour un dialogue avec le gouvernement mais pour que ce dialogue soit effectif, il vaudrait que certaines conditions soient remplies par les gouvernants. A travers un communiqué l’on peut lire clairement grande qu’Ayuk Tabe clame tout d’abord la libération de tous les détenus anglophones, le retrait des troupes gouvernementales.
Poursuivant ses propos celui qui se clame président de la République d’ambazonie impose la présence des Nations Unies en tant qu’arbitre de même que les observateurs étrangers tels le Royaume-Uni, l’Union africaine, le commonwealth, l’Union Européenne lesquelles doivent prendre part dans le règlement du conflit et que pour des raisons sécuritaires, les discussions aient pour lieux soit le siège des nations Unies , soit à Genève ou mieux à Addis -Abeba