Le Président Fondateur de l’Organisation des Chercheurs et Médecins Holistiques (OCMH soutient que les Camerounais doivent éviter les marches, violences, casses et revendications en contexte post-électoral ce 26 octobre 2025.
En période post-électorale, les tensions peuvent être vives. Toutefois, recourir aux marches, casses ou revendications violentes fragilise la paix sociale et expose le pays à l’instabilité. Ces actions, peuvent rapidement dégénérer en violences, pertes humaines, destructions de biens publics et paralysie de l’économie.
Dans un État de droit, les voies légales de recours existent : contestations électorales devant les juridictions compétentes, dialogues encadrés, médiations institutionnelles. Choisir la voie de la violence revient à remettre en cause le cadre démocratique et à ouvrir la porte à l’anarchie.
Préserver le calme et la paix sociale, c’est protéger les plus vulnérables, éviter les pertes inutiles et permettre aux institutions de fonctionner. Les casses ne renforcent pas la démocratie ; elles affaiblissent le tissu social et creusent le fossé entre citoyens.
La maturité républicaine impose donc de privilégier la voie du dialogue, du respect des lois et de la patience démocratique. Car la paix, une fois rompue, est difficile à reconstruire.
Dr. BOHONO OKOGO JACQUES EDOUARD
Président Fondateur de l’OCMH (Organisation des Chercheurs et Médecins Holistiques)
