
Une soirée parisienne où le talent a brillé, et où quelques sourcils se sont levés. Préparez les confettis, et surtout, votre sens de l’humour !
Hier soir, le monde du football avait les yeux rivés sur Paris, non pas pour un match épique, mais pour la grand-messe annuelle du Ballon d’Or. Et quelle messe ce fut ! Entre la consécration de nouveaux visages et les habituels débats enflammés, la cérémonie 2025 a prouvé que le football, même en smoking, sait toujours nous surprendre. Accrochez-vous, car les résultats sont tombés, et ils risquent de faire jaser plus que le dernier mercato !

Ousmane Dembélé : le phénix du football, ou comment passer de l’infirmerie au sommet du monde !
Mesdames et messieurs, roulement de tambour… Le Ballon d’Or masculin 2025 est attribué à nul autre qu’Ousmane Dembélé ! Oui, vous avez bien lu, le magicien du Paris Saint-Germain, l’homme aux dribbles chaloupés et aux accélérations fulgurantes, a enfin décroché la timbale. Après des années à jongler entre les terrains et les salles de rééducation (on l’a même surnommé ‘l’homme de verre’ à une époque, avec tout l’amour qu’on lui porte, bien sûr !), Dembouz a prouvé que la persévérance paie. Son parcours est un véritable conte de fées moderne : celui d’un joueur qui, malgré les pépins physiques, a su revenir au top, plus fort et plus décisif que jamais. On imagine déjà les mèmes : Dembélé soulevant le trophée, avec en arrière-plan, une infirmière en larmes de joie. C’est la revanche des ‘fragiles’, et on adore ça !

Juste derrière lui, le jeune prodige Lamine Yamal du FC Barcelone a fait une entrée fracassante sur le podium, prouvant que la relève est déjà là, et qu’elle n’a pas froid aux yeux. On a aussi vu Vitinha (PSG) et Mohamed Salah (Liverpool) se glisser dans le top 5, confirmant que le talent n’attend pas le nombre des années (pour Yamal) et qu’il est éternel (pour Salah, qui doit avoir un pacte avec le diable pour rester à ce niveau !).
Aitana Bonmatí : La reine incontestée du ballon rond, et ce n’est pas une surprise !
Du côté féminin, pas de suspense insoutenable, mais une confirmation éclatante : Aitana Bonmatí, la maestra du FC Barcelone, a logiquement remporté le Ballon d’Or féminin. Après une saison stratosphérique où elle a empilé les titres et les performances de haut vol, la question n’était pas de savoir si elle allait gagner, mais plutôt de combien de voix elle allait devancer ses concurrentes. Aitana, c’est un peu la joueuse qui a inventé le football à trois dimensions : elle voit tout, elle fait tout, et elle le fait avec une élégance déconcertante. On murmure même que ses adversaires se demandent parfois si elle n’a pas un GPS intégré dans les pieds. Chapeau l’artiste !
Les autres trophées : quand les clubs et les coachs se partagent la gloire (et les blagues)
La soirée a également récompensé d’autres acteurs majeurs du football. Le Paris Saint-Germain a été sacré club masculin de l’année, ce qui, après la victoire de Dembélé, a dû provoquer une explosion de joie (et de champagne) dans les couloirs du Parc des Princes. Du côté féminin, c’est Arsenal qui a raflé la mise, prouvant que le football londonien a aussi son mot à dire. Et pour couronner le tout, Sarina Wiegman a été désignée meilleure coach, une reconnaissance amplement méritée pour celle qui continue de marquer l’histoire du football féminin. On imagine déjà les discours de remerciement, entre larmes de joie et promesses de victoires futures. Une chose est sûre : le Ballon d’Or 2025 restera dans les annales comme une édition riche en émotions, en surprises, et surtout, en talents !
Gérald Nyatte



